La Belgique, son drapeau à trois couleurs, son territoire à trois régions, ses trois langues nationales et son Roi, sa Loi, sa Liberté. Un pays plat par le surnom mais ô combien grand par sa résilience aux crises et aux obstacles. Cette capacité à rebondir envers et contre tous, elle a encore eu l’occasion de l’éprouver avec force et fracas ces dernières années, acculée comme toute la planète par un petit virus au doux nom de Covid-19. Petit virus, énormes conséquences: les décès se sont comptés par centaines de milliers, l’économie mondiale s’est retrouvée du jour au lendemain au point mort et la société confinée chez elle pendant de longs mois. Une situation dont les conséquences, aggravées par les différentes crises qui ont suivi, se ressentent toujours de nos jours.
C’est face à cette situation inextricable que l’Union européenne a lancé son grand plan NextGenerationUE, le plus vaste programme de relance jamais adopté par le vieux continent. Un projet rapidement adopté par la Belgique et son propre NextGenBelgium, un plan pour la reprise et la résilience des différentes composantes de l’État.
À la tête de ce plan ultra-ambitieux: Thomas Dermine, Secrétaire d’État pour la Relance et les Investissements. Un homme dont la tâche est, tel le commandant d’un navire, de coordonner les différentes entités belges au service d’une relance commune pour les prochaines générations, mais aussi d’assurer la réussite de ce projet, en toute transparence.
C’est fort de cette casquette de capitaine du plan de relance que Thomas Dermine sera le prochain orateur d’«Epislogues», notre cycle de conférence-débat, le 23 mai prochain.