Que ce soit à travers ses concepts (« Je cuisine local », « table de terroir »…) ou ses rendez-vous événementiels (Journées Fermes Ouvertes, Semaine du bio, Semaine de la frite…), l’Apaq-W se démultiplie avec beaucoup d’énergie pour promouvoir les gammes de production agricole et horticole wallonnes. A coups de campagnes publicitaires diffusées à la télévision et à la radio, mais aussi d’événements médiatiques et grand public, ou de spots sur les réseaux sociaux, l’Agence serine un seul et même message: manger local.
Tout profit pour les agriculteurs et horticulteurs wallons ainsi que les transformateurs, dont l’excellence du travail ne cesse d’être martelée aux oreilles des consommateurs. L’objectif étant que ces derniers acquièrent le réflexe de l’achat en circuit court.
Des campagnes dont le coût est financé pour partie par une dotation publique émanant du Gouvernement wallon, pour l’autre par les cotisations perçues auprès des producteurs et des transformateurs. Des cotisations qui ont visiblement surpris certains producteurs bio qui, pour la première fois, se sont vu réclamer leur écot. L’occasion d’en rappeler le principe avec Philippe Mattart, le directeur de l’Apaq-W.